Pov Lizzy

Je voulais bouger, affirmait mon réveil, ma présence... Mais Je ne pouvais pas.
J'étais paralysé, ce rire aigu résonnait dans ma tête, je ne voulais plus rien entendre, revenir dans une éternel enfance, loin de tous ses problèmes qui venait me ronger jusqu'à me détruire. 

Comment pouvait-t-on parler de mort aussi facilement?

Tandis que le silence de l'extérieur pesait, le rire se stoppa pour juste murmurer

<<Reste tranquille. Si tu veux savoir les pauvres choses qu'il sait sur nous.>>

Je ne comprenais pas ce qu'elle me disait, j'étais obnubilé par les mots qu’Alexy m’apprendrait. 

Pov Alexy

Tout le monde resta horrifié devant ma révélation.

-Explique... Toi... Murmura Kentin avec difficulté 

Je me lançais

-Le jour de la mort de sa famille, Je l’ai découvert. Son œil émeraude avait teintée étrangement en violet. Je n'avais pas compris, jusqu'à ce que je croise ce regard violacé. Ce n'était pas Lizzy. C'était quelqu'un d'autre. J'avais étais surpris et quelques peu terrifié. Elle avait souri cruellement, j'avais ensuite entendu sa mère, normalement morte criait. Crier qu'il fallait arrêter sa fille. De l'embrasser pour stopper cette folie. Je ne comprenais rien et me sentait non prêt à embrasser une fille, une personne que je venais de rencontrer, mais je compris qu'il ne fallait impérativement le faire lorsqu'elle...

Ma voix commençait à se brisé et Iris m'épaula. Kentin exigea avec appréhension la suite.

-Elle tua... Elle tua sa mère... Sans scrupule...

Tandis que les larmes et la peur régna, je me plongeais dans le passé et dans mon monologue

Flashback

Toujours avec son sourire narquois et ses yeux terrifiants, elle acheva sa mère, sous mes yeux. Je devais arrêter ça.

-La peur me nourrit... La mort me rend vivante... Crois-tu pouvoir faire ce que cette vieille peau t'a demandé?

Sa voix était plus grave, plus... Maléfique... 
Elle rigola, sadiquement.

-Et si toi aussi... Tu devenais écarlate?

Elle se rapprochait doucement... Je devais bouger, je devais agir. Mais ses yeux me toisant avec malice et charisme terrifiant me dissuadaient. Puis je pensais à elle, la vraie... La Lizzy qui souriait et parlait avec entrain et éclat. Je ne voulais pas la perdre... Même si c'était une rencontre récente...

Je m'étais jeté sur elle, ça l'a déstabilisa, et je l'embrassai. Elle revint à elle... Mais pleura te et vulnérable.

-Ils sont mort.... C'est trop tard... Pourquoi... Pourquoi.... Pourquoi...

Elle pleurait a chaude larmes et je n'avais pas la force de lui dire qu'elle avait tué de ses mains sa mère. Je regardai ses yeux, ils étaient comme avant, mais ils leur manquaient cet éclat malicieux... La pupille était de nouveau émeraude, et c'est en notant ça que je la berçai dans mes bras, comprenant qu'elle ignorait elle-même ce qu'il s'était passé.

***

Je finissais avec douleur tandis que devant moi, les pleurs redoublaient coté Iris et Violette. Kentin se retenait en se pinçant les lèvres et affichait une mine de douleur intense. Armin était en larmes malgré lui et jeta sa console. Lysandre cachait une partie de son visage avec l'une de ses mains et je compris qu'il pleurer d'un œil, il était en pleine douleur moral. Castiel était tourné et se dirigea près d’un arbre pour le frapper violemment et revenir vers nous, frustré.

-Dans Lizzy. J'en ai conclu qu'elles étaient deux... Cette personne ne se manifestait plus jusqu'à récemment. Et lorsque je quittais la salle de classe, le jour où nous avons battu ses hommes en noir... Celui éveillé m'avait dit que celle que l'on connaissait mourrait bientôt. Je viens de comprendre pourquoi... Ça devient de plus en plus fréquent et un baiser ne suffira bientôt plus.

Pov Lizzy.

Je pleurais. Les larmes ruisselaient, s'écrasant sur le bitume. Mes cheveux argent voilant mon visage meurtri. J'avais achevé ma mère. La seule qui aurait pu s'en sortir. La seule qui aurait pu être avec moi... Je l'avais tué. J'étais horrible. La chose rigola en affirmant mes propos. Je ne voulais plus l'écouter. Elle était moi. Je le savais au fond. Mais ... Ce n'était pas une quelconque partie sombre de moi-même, je le sentais différemment ... Je n'y songeais pas. Je m'en fichais. 
J'étais la pire. J'étais une meurtrière. 
Je me levais, les cheveux disposaient sur mon visage, cachant mes larmes.

Alexy me lança un regard horrifié, les autres me regardèrent, avec un sentiment indéchiffrable.

-Pourquoi... Tu ne m'as rien dit? 

Ma voix était glaciale malgré moi.

-Je... Je ne pouvais pas...

Le vent se leva, frénétique, levant mes cheveux tandis que les gouttes d'eau incessantes roulant sur mes joues furent visibles.

-Tu n'avais pas le droit... De me cacher que j'étais une tueuse. Que j'avais tué ma mère. Que... Que j'étais aussi détestable... Tu n'avais pas le droit... De ne pas me dire que je mourrais... Tu n'avais pas le droit...

Je me brisais, mon cœur se décomposait, je savais que mes yeux reflétaient toutes ces souffrances, inégalable, que je ressentais depuis tant de temps, les douleurs, les cicatrices qui s'étaient gravé... Tout était reflétait dans mes vairons. Personnes ne pouvait affronter mon regard. Je les regardai un a un, cherchant à capter leur regard fuyant. 

-Je suis désolé. De vous faire subir autant. 

Je me retournai, je devais me sauver seule, je ne devais pas impliquer ses personnes qui finirait par me faire mal par leur incompréhension de ces souffrances. Que je ferais souffrir moi-même.
Personnes ne m'arrêtai, tandis que je m'engouffrai dans la forêt, échappant à cette surveillance scolaire, a ses êtres que je ne cesserais jamais de chérir dans mon cœur. Mais que je refusais de briser. Les dernières souffrances que j'entendis ce jour-là fut les pleurs déchirants d'Alexy qui craquait suivi de ses simples mots : 

-Elle ne devait pas savoir!

Je sentais le regard émeraude à mon dos, qui me suppliait de me retourner. Je ne pouvais pas... Je n'avais pas le droit...

Mais je devais le faire, mon instinct m’y poussa, je me retournais donc, plongeant mon regard dans le sien et lui sourit chaleureusement, faisant de même pour tous les autres.

-A demain. J'ai juste besoin d'être seule. 

Je faisais passer ça comme un simple problème puéril. Mais ce n'étais pas le cas, mon âme, mon esprit, était en danger. Cependant, je savais où aller.

*** 

Je me vêtu simplement, débardeur blanc, jupe plissé bleu jean, bottes victoriennes a lanières hautes noire et une très légère veste de la même couleur. Je ne me sentais pas bien avec cet œil violet et je n'avais pas la force de le plantait, de le briser... Donc je me mis un cache-œil blanc pour ne plus le voir.
Je marchais vers le lycée et y arriva rapidement. Je ne voulais pas attirer l'attention vers moi mais ce fut peine perdu...

-MADEMOISELLE CLIVE !!!!

Je lançais un regard à la Furie.

-QUE NOUS VAUT CETTE ABSENCE INJUSTIFIÉ EN PLEIN MILIEU DE LA COURSE D'ORIENTATION?!

-Je ne me sentais pas bien et suis rentré chez moi. 

-VOUS AURIEZ PU PREVENIR !! 2H DE COLLE CE SOIR A 17H ! 

-Ça ne va pas être possible...

-POURQUOI DONC?!?!

Je lui désignai mon œil caché et elle se résigna à annuler la colle pour repartir.
Évidemment, mon œil était intact. Mais j'avais prévu quelque chose ce soir... Hors de question d'annuler.

Je vis de loin le groupe m'observait. Je pris mon inspiration et couru vers eux. 

-Salut ! Souriais-je.

-...

Mon sourire se fana et je m'assombris.

-J'ai compris. Vous ne voulez plus de moi. Désolé.

Je me retournai, prête à repartir quand une main fine me prit la main.

-Désolé Liz' On ne voulait pas agir comme ça... Je viens de l'apprendre...

-Je sais Rosalya.

-Lizzy. Nous allons t'aider.

Mon œil émeraude regarda Alexy, je souris mais refusa d'un mouvement de tête.

-Non. Je vais vivre ma vie pleinement. C'est en se tourmentant que cette chose prend du terrain. Je ne veux pas qu'on fasse quoi que ce soit. Tout Ce que je souhaite c'est ma sincérité de vos regards, et pas de mensonges. Et si j'apprends, ce qui arrivera un jour, que vous avec agi sans prendre compte de mes paroles. Je jure de disparaître à jamais de vos vies.
Mes derniers mots les laissèrent en choc. Je rajoutai.

-Je ne veux pas que vous tentiez de briser ma joie en agissant sans prendre compte de mes sentiments, je ne vous pardonnerais pas si ça arrive. C'est un ultimatum que je vous pose.

-Je ne ferais rien... Commença Iris

Les autres opinèrent.

-Merci à tous. Souriais-je, sincèrement.

*** 

-Oh... Tu as perdu la lentille de ton œil violet ?

Je me tournai vers une blonde excentrique extrêmement énervante : Ambre.

-Non. J'ai pris un mauvais coup a l'œil.

-C'est ça. Allez Avoue. 

Elle tenta de m'arracher mon bandeau mais je l'esquivai et partit.

-Hey... Lizzy... Elle n’a pas tort, ton œil, il s'est passé quoi réellement?

-Je l'ai brisé... Enfin, ai tenté...

Ils ne dirent rien, sachant que quelques soit la façon ou ils tourneront leur désaccord face à ça, ce serait trop maladroit pour ne pas m'énerver 

***

-Fini !!

-Bravo ma Lizzy !

-Ouais !! J'ai rien compris. Souriais-je à pleines dents.

Rosalya afficha une mine blasé 

-Ben quoi? La physique et moi...

-J'ai cru que tu t'étais amélioré… 

-C'est seulement possible pour Les Lizzy du monde ça?

-J'imagine que non! 

-Hey, les deux jeunes filles aux cheveux blancs, stop les bavardages.

-Oui Oui !!

Nous nous échangions un regard complice. 
On ne croirait pas qu'il y avait eu le moindre problème...
Le cours se finit la classe sortit, je prolongeais un peu notre conversation avec Rosa.
Je quittai la classe et la laissa aller à son option tandis que je me dirigeai en interclasse. Quand une douleur me prit à l'œil violet, je me rendis au toilettes déserte et retira mon cache-œil violemment.

<<Sérieusement, tu pensais que ça marcherais ? Que tu arrêterais quoi que ce soit? >>

Je voyais la pupille brillait d'autant plus et mon émeraude commença à se transformer, je refusai de succomber. Je devais agir. Je vis un genre de pic tranchant sur la canalisation et l'arracha, et décida de le faire.

Je me brisais l'œil violet.
Je criai de souffrance de manière synchronisé avec la voix clandestine. Mes douleurs étaient physique, les siennes mental.

<<Espèce de...>>

Elle ne put finir sa phrase, tout s'arrêta. Mon œil saignait, je n'entendais plus sa voix, je ne me sentais plus oppressé. Mais je la savais toujours là.

Je calmai les larmes écarlates qui coulait de mon œil avec un chiffon mouillé et remit mon bandeau. 
Je me rendis comptes que la pièce inondé, faute d'une pièce manquante de la canalisation, je n'étais pas très trempé, légèrement des souliers et courut vers la sortie, impossible d'atteindre le tuyau englouti par l'eau, donc oui, j'avais opté pour la fuite.
Pile quand j'arrivais à l'interclasse, j'entendis mon nom de famille et répondit présente, il ne leva pas les yeux et conclut que j'étais là depuis le début, je soupirai de soulagement.

-Tu étais ou? Demanda Iris

-Bah j'étais en train d’inonder les toilettes.

-Toi alors! S’exclama-t-elle, prenant mes propos comme blagues

-Je sais, je sais. Fis-je, amusé.

Je réprimai la souffrance que me parvenait mon œil mort tel une douloureuse piqûre.

*** 

La soirée arrivait, j'accueillis la fin de la dernière heure de cours avec un sourire éclatant.

-Il te tardait?

-Et oui! Je m'ennuie! Au fait Lysou...

-Oui?

-Tu m'aimes?

Pas besoin de préciser, entres nous, c'est amitié.

-Évidemment Liz.

-Cool! 

-Pourquoi ça d'un seul coup ?

-Besoin d'un câlin. 

-Tu ferais mieux de dire ça à Alexy.

-Non, j'en veux un de Lysou!

-Haha, si tu veux. 

Il m'étreignit rapidement et me sourit tandis que je le remerciais.

-Lizzy.

-Hm??

-Pour ton œil...

Je plongeai ma pupille dans ces vairons et comprit sa demande. Je retirai mon bandeau, voyant que la classe était presque vide et seule ma bande s'éternisait. Le prof était plongé dans ses copies. 

Lysandre écarquilla les yeux, les autres nous regardant.

-Mais... Tu avais dit que... Que tu n'avais pas réussi à...

-Il y a eu une complication qui ne m'a pas laissé le choix.

-C'est pour ça que tu es arrivé en retards l'interclasse. Dit Iris.  

Je me tournai vers elle, mon œil devenu aveugle donc blanc et avec des traces noires comme un carreau cassé fut visible de tous sauf le prof, qui n'y prêtait pas attention.

-Lizzy...

-C'est rien Kentin. Bon, c'est pas tout mais je dois y aller, à demain mes chéris ! dis-je en remettant ce voile

-Bye ! Sourit Alexy.

Il était le seul à suivre les instructions a la lettre, je l'adorais...

Les autres suivirent sous mouvement tant bien que mal.

-Kentin, je rentres pas avec ton aujourd'hui,  j'ai une course à faire.

-D'accord, appelle moi en cas de problème.

-Compris mon prince !

-Hein?!

-Je plaisante ! Rigolais-je

Je partis en courant et atteignit après une course toujours parfaite l'endroit convoités: Le Commissariat.

Je demandai à voir le détenu récemment inculpé qui avait attaqué Sweet Amoris. Son nom, je ne le connaissais pas. 
Le policier de l'accueil comprit pourtant et me prévint que je pouvais pendant quelques minutes, une demi-heure tout au plus mais que le lendemain, il serait transféré en prison pour quelques années, une quinzaine, il avait été le tueur de ma famille et cela avait compte et alourdit de beaucoup sa peine.
J'ai oublié de le préciser. Je devais aller jour cette personne pour éclaircir le mystère qui planait autour de la Chose, s'il voulait me tuer, c'était surement pour une raison. Je me suis tourné vers cette piste par également les dires d'Alexy.

*** 

Le détenu Lenz Shinma, arrive en salle.
J'appréhendais tandis qu'il entrait dans la pièce ou seul deux portes trônait, celle de l'enfer et celle de la liberté, et quatre murs incolores nous enfermait.
Je reconnaissais son visage et le nom de famille Lenz me disait quelque chose...

-Bonjour. Dis-je, accompagnant mes propos d'un regard noir.

-Bonjour Clive Lizzy.

-J'ai des questions à vous poser. 

-Je sais. Pourquoi serais tu venu sinon?

Je toisai ses yeux noisette de ma pupille émeraude.

-Pourquoi vouliez-vous me tuer?

-Pour le fun.

-Ok. 

Je me levais et m'apprêtais à partir quand il dit, choqué

-Tu te contentes vraiment de ça ?! 

Je me retournai, sourire accroché au visage 

-Donc c'est faux. 

Je me rassis, il se pinça la lèvre frustré

-Je veux la vérité.

-Je suis un Ex-Infirmier. J'ai arrêté il y a 15 ans. 

-Et alors ?

-Tu ne fais pas le rapprochement?

-On m'aurait seringué a 1 ans et demi... Vous étiez la n'est-ce pas?

-Oui. J'assistais souvent le médecin qui s'occuper de ce test. Le jour où on t'a planté cette seringue... N'étais pas un accident. 

J'écarquillai les yeux. 

-Mais...!

-Oui, nous n'avions pas le droit. Mais il nous manquait un deuxième test, un féminin. Et c'est tombé sur toi.

-Quel est le rapport avec cette chose ?

-L'expérience a été un succès. Et nous pensions qu'il n'y avait pas d'effet secondaire chez les femmes.

-Vous voulez dire qu'il y a eu des effets secondaires? Et pourquoi "que chez les femmes"?

-Le jeune bébé masculin était normal, comme tous les autres. Son apparence a fini par être modifié, yeux de couleur rouge alors qu'ils étaient bleu et cheveux vert foncé. Seulement, il a eu des effets secondaires très désastreux, maladie, trouble mentaux, il a fini...

-Il a fini?

-Ces troubles mentaux était si élevé qu'il a tué un de ses camarades a la maternelle. Il a été incarcéré dans un asile.

-Sérieux? Me dites pas que je vais devenir comme ça?

-Non. Tu n'étais pas une enfant normale. Nous ne pouvions pas savoir à l'époque. Tu étais trop jeune. Lorsqu'un seul de tes yeux s'est changé, nous avions eu cru que l'injection n'était pas assez forte mais  voyant que rien ne t’arrivait d'anormal, nous avons conclu que quand c'était en test partiel que les effets secondaires étaient déviés.

-Mais?

-Mais nous avons découvert que tu souffrais de Schizophrénie. 

Je restai choqué devant ses mots.

-Et c'est ta deuxième personnalité qui a été affecté par les effets secondaires... 

-Elle est... Meurtrière... 

-Oui. Une partie de toi a été lourdement affecté. Avec un traitement normal si elle n'avait rien subi, tu aurais pu être épargné... Mais le test ... Empêche cela... Ta deuxième toi a maintenant une conscience propre.

-Deux âmes dans un corps? C’est pour éviter que le mauvais côté n'est raison de moi que vous avez use de la prudence en cherchant à nous tuer toutes les deux ?

-Voilà.

-Comment... Je peux contrer cela ?

-Je l'ignore. Mais... Je crois que l'ancien docteur... Doit avoir une réponse... 

-Ou je peux le trouver?!

-Surement... Dans un endroit abandonné de toute civilisation... Il supporte plus les humains, il était presque dépressif quand je l'ai quitté définitivement. Je ne sais pas s'il est toujours vivant. 

-Ou l'avez-vous pour la dernière fois?

-Dans l'entrepôt abandonné... Dans la vieille ville de Sweet.

-Merci. Et Adieu.

-Au plaisir.

Nous nous quittions. J'étais bouleversé par toutes ses révélations.
J'allais rentrer chez moi, lorsqu'une douleur insupportable me prit a l'œil brisé. J'arrachais le cache-œil, et lorsque je vis mon reflet sur la vitrine, je fus incroyable horrifié.

Mon œil blanc était redevenu violet. 

Comment cela était-il possible?

«  Je n’ai peut-être pas pu savoir ce que tu as fait durant mon sommeil forcé… Mais ne crois pas que tu pourras m'arrêter en si bon chemin. Ne sens tu pas ta force d'esprit faiblirent? Le compte à rebours a déjà commencé. »

Je compris que je n'avais plus de temps à perdre.

A suivre…